Dans le champ politique de ce XXI ème siècle la séparation idéologique n’est plus entre social-libéral ou libéral-social, la droite ou la gauche, mais entre mondialiste et nationaliste ou encore plus précisément entre sioniste et antisioniste. Voilà la nouvelle frontière politique.

L’oligarchie est sioniste.
Dans le débat politique d’aujourd’hui on ne peut faire l’impasse sur cette frontière idéologique puisque TOUT y ramène! Tout est lié aux valeurs véhiculées par le sionisme que l’on accepte ou que l’on refuse comme le mondialisme libéral capitaliste et comme le mariage gay par exemple, qui est une avancée idéologique contre les religions, un combat à mener de plus pour faire céder les résistances aux lois naturelles qui font que la vie naturelle ne provient que de l’amour d’un mâle et d’une femelle. Le sionisme est en réalité en lutte contre les lois naturelles divines pour tenter d’inculquer aux humains que la vie peut être modifiée, triturée, bouleversée à son propre profit. On nous pousse ainsi à accepter les aliments génétiquement modifiés que l’on impose partout, on crée des nouveaux être vivants génétiquement croisés, on pratique le clonage pour favoriser la « pureté génétique de la race humaine »…
Mais ne nous y trompons pas, qui dit sionisme dit Israël dit juif. C’est indissociable. Le sionisme est donc un projet juif mais c’est un projet juif de domination sur le monde! Le monde doit être sioniste et doit donc se plier aux volontés exprimées par Israël et de sa diaspora dispersée dans les pays du monde. Une diaspora qui s’est hissée au sommet des pyramides nationales pour en constituer l’élite oligarchique et qui défend de façon virulente le sionisme comme ici Coppé:
Il faut comprendre que le sionisme est véhiculée par des associations juives internationales très puissantes comme l’American Jewish Comittee qui infiltre les nations au plus haut niveau. Ici la représentante française Valérie Hoffenberg, élue UMP, qui pratique ouvertement le lobbying sioniste dans l’élite française:
Mais ne nous y trompons pas non plus le sionisme est aussi le marqueur du PS. Les Fabius, Moscovici, Hollande, Ayrault et les autres vont œuvrer au projet sioniste de domination de l’élite oligarchique sur le monde. On le voit lorsque Hollande pousse à la guerre en Syrie au côté d’un BHL représentant officiel de la politique d’Israël en France. Le PS est le parti sioniste de France!
La résistance est diverse.

Face à cette hégémonie sioniste incarnée par l’oligarchie, la résistance populaire et nationale ne peut être qu’antisioniste! C’est le marqueur absolu qui fait la différence puisque le projet sioniste est un projet impérialiste de domination sur les nations. Un projet juif comme le rappelle fort bien le nationaliste Philippe Ploncard d’Assac:
Et comme nous le dit aussi très bien une autre figure résistante nationale, Alain Soral:
On le voit donc le nationalisme véritable ne peut que refuser un projet de soumission de la nation française au projet sioniste car c’est incompatible! Et malheureusement il semble que le projet de dédiabolisation commencé par Marine Le Pen au FN est de rapprocher le mouvance nationale du sionisme qui est le vrai marqueur de l’extrême-droite racialiste et islamophobe en Europe. Ce serait une faute si cela se confirmait. Elle devrait faire un voyage en Israël en septembre ce qui confirmerait ce rapprochement incompatible avec la vision sioniste du monde. Cette vision idéologique est vouée à l’échec puisqu’elle consiste à vouloir défendre notre nation tout en la soumettant à nos oppresseurs! C’est là toute l’ambiguïté de Marine Le Pen que d’ailleurs son père qualifie de « petite bourgeoise » pour bien montrer dans quel camp elle est en fait. Pas celui du peuple résistant à la domination.
L’antisionisme est aussi un marqueur des minorités opprimées qui ne se sentent pourtant pas nationaliste mais peuvent être patriotes lorsqu’il le faut. C’est le cas d’un Dieudonné qui se considère comme le produit du métissage et le revendique, tout en ayant une conscience d’appartenance à une race opprimée dans l’histoire: la race noire. Son combat est donc celui pour une humanité reconnue qui ne peut accepter l’idéologie raciste véhiculée par les sionistes qui considèrent d’ailleurs l’ensemble des goys du monde (les non-juifs) comme du bétail devant servir les maîtres du monde:
En France la voix islamique chiite antisioniste est véhiculée par le centre Zahra qui est à l’origine de la création du PAS ( Parti Anti-Sioniste). L’Islam sunnite est lui plus ambigu puisque financé par l’empire mondialiste via le Qatar et l’Arabie saoudite qui sont sous domination militaire. Il peut donc parfois être virulent contre le sionisme à l’instar des frères musulmans mais son projet n’est pas de combattre le sionisme pied à pied c’est de prendre le contrôle de la future Oumma islamique. Ce qui n’est pas fondamentalement pareil et en fait des alliés de circonstance pour l’empire mondialiste. C’est ainsi que les USA peuvent affirmer que ce sont eux qui ont armés et financés Al Qaeda sans que cela ne choque personne! Lire ICI
Il existe une composante du sunnisme, le soufisme, qui véhicule clairement le refus du sionisme et qui sait analyser l’histoire comme une volonté hégémonique sioniste comme actuellement en Syrie:
Et puis enfin dans la résistance contre le sionisme l’on trouve des juifs antisionistes! Ceux-ci se battent pour refuser d’être amalgamés à un projet de domination mondiale qui n’est pas le leur. Le sionisme est un projet antisémite profond porté par les juifs ashkénazes principalement, dit les Khazars. Ils sont d’origine eurasiatique et n’ont aucun lien avec Israël. Ils se sont convertis au judaïsme car c’était la seule religion qui leur autorisait à résister aux envahisseurs chrétiens ou islamiques dans la région, en pratiquant la fausse conversion. Se déclarer musulman pour sauver sa peau, ou chrétien, est un concept juif popularisé par Sabbattaï Tsevi leur véritable messie, et son disciple Jacob Frank parrain du frankisme. C’est donc la ligne religieuse des donmeh qui domine le judaïsme et impose sa volonté dominatrice à l’ensemble de la communauté juive. Un projet qui n’est pas partagé par tous les juifs comme le rappelle ici Jacob Cohen:
Conclusion.
La résistance nationale c’est donc faire l’union des diversités résistantes face au projet mondialiste sioniste. L’on ne peut gagner dans la désunion entretenue à dessein par les idéologues sionistes qui véhiculent l’islamophobie pour empêcher que cette union prenne forme et mette fin à leur projet.
Dans ce contexte politique le front national qui entend incarner la résistance populaire à l’hégémonie européiste et mondialiste, ne peut se revendiquer comme proche du sionisme car c’est incompatible. On peut comprendre que tous les leviers du pouvoir étant entre les mains des sionistes il faille savoir composer stratégiquement pour se « dédiaboliser », mais au final le système n’est pas dupe et saura vous écraser en temps voulu. Publier une petite vidéo de fachos identitaires pro-sionistes proches du FN peut décrédibiliser facilement tout sentiment de proximité avec ce FN là.
La ligne de résistance est certes étroite pour autant le combat doit se faire dans l’honneur et la dignité en refusant la compromission la plus abjecte qu’est la soumission au sionisme. Le FN si il veut incarner la résistance populaire doit au contraire faire émerger des juifs antisionistes qui sauront eux expliquer véritablement le projet sioniste sans subir le chantage grotesque à l’antisémitisme qui finira fatalement par se voir et devenir caduc de lui-même. Il lui faudra aussi refuser subtilement l’islamophobie en montrant qu’il est véhiculé par le projet sioniste tout en revendiquant avec fierté nos racine chrétiennes. C’est à un vrai travail idéologique fondamentale que doit œuvrer le FN car c’est la seule voie acceptable pour la résistance nationale.
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